Le blog des anciens participants du DIU santé des migrants

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Dites-nous aussi comment vous avez pu mettre en oeuvre les acquis du DIU et transmettez-nous les informations ou documents que vous souhaiteriez partager.

Note d’information sur les travaux de validation

Le travail demandé en fin de DU (à rendre le 1er mai 2026 pour le DU Santé des migrants et le 1er juin 2026 pour le DU médiation en santé) est une réflexion personnelle sur un  thème en lien avec les enseignements.

Il peut s’agir d’une recherche, de la rédaction d’un  rapport de stage, de la relation d’une expérience, d’une réflexion plus générale, etc. Il n’est pas demandé un lourd travail académique, mais une réflexion structurée et articulée sur vos propres pratiques professionnelles.

Le format est libre mais ne doit pas dépasser une vingtaine de pages, bibliographie comprise dans une taille de police raisonnable (11 ou 12).


Recherche
Vous pouvez mener une petite enquête sur les données d’une structure, sur le vécu des patients ou des professionnels. Dans tous les cas, soyez modeste, le temps est court et les écueils nombreux (prises de rendez-vous, dépouillement, etc.).
Un petit échantillonnage de 10 entretiens est le plus souvent suffisant. On peut aussi parfois tirer des enseignements de trois ou quatre descriptions bien détaillées.

Le plan général de la présentation d’une recherche est IMRAC:

  • Introduction (quelle problématique, quelles options sont proposées dans la littérature, objectif du travail)

  • Méthodes (Où, qui, quand, quoi, comment de votre recherche exemple: questionnaires, où, quelle durée, quel échantillon, etc.)

  • Résultats (les résultats bruts obtenus)

  • Discussion (ou Analyse) (Analyse de ces résultats au regard des objectifs, fixés, des données de la littérature, mais aussi questionnement des biais potentiels et surtout des limites de l’étude)

  • Conclusion (Que peut-on tirer comme enseignements nouveaux de ce travail?)

Recherche bibliographique
Certains vont vouloir faire un état des lieux de la littérature sur un sujet donné. Là encore soyez modeste, la littérature est vaste, foisonnante et souvent contradictoire.

Premier principe: ce n’est pas parce que c’est écrit que c’est vrai. Sachez porter un regard critique et classer vos références bibliographiques par perspectives d’analyse.

Deuxième principe: Une liste d’articles et de livres de la littérature sans être analysée n’est pas très intéressante. C’est précisément votre analyse et votre critique ainsi que les usages que vous pouvez proposer des notions dégagées qui font l’objet du travail. Ne vous effacez pas devant les écrits, autorisez-vous à être le véritable auteur de votre travail!
Troisième principe: Ne vous y noyez pas non plus. Un maximum d’une trentaine de références suffit habituellement pour assez bien cerner un sujet. Vous constaterez que beaucoup d’auteurs répètent ce que d’autres ont écrit sous une forme légèrement différente, avec d’autres mots (parfois ronflants) mais qui disent strictement la même chose.

L’organisation de votre texte suivra le même modèle IMRAC, mais avec une discussion plus approfondie sur les diverses perspectives que vous ouvre cette lecture de la littérature, en particulier sur vos situations et expériences personnelles.

Pour les autres types de travaux (réflexion générale, récit, etc.) le format est entièrement libre. Pour autant, particulièrement si vous choisissez le récit, essayez de ne pas être trop émotionnel. L’humain est fondamental mais l’émotion excessive brouille les analyses.

Points très importants : TOUS LES TEXTES TIRÉS DE DOCUMENTS EXISTANTS DOIVENT ÊTRE RÉFÉRENCÉS ET MIS ENTRE GUILLEMETS ET/OU EN ITALIQUE.

Toute autre présentation tendant à faire croire que vous êtes l’auteur de ce texte qui est copié d’un document déjà existant sera considérée comme un PLAGIAT et sanctionnée comme le recommandent les règles universitaires. Voir les recommandations de l’université de Bordeaux

Par ailleurs, n’imaginez pas qu’un texte rédigé grâce à l’intelligence artificielle générative (IAG) ou autre outil de compilation numérique puisse figurer sous votre signature sans éveiller le moindre soupçon. La syntaxe, l’orthographe, les concepts consensuels  mobilisés, le langage convenu, l’éloignement des réalités vécues du terrain, tout peut concourir à démontrer que vous n’en êtes pas l’auteur.

Si l’usage de l’IAG peut être utile pour vous aider dans l’explicitation de concepts ou la recherche de références, elle doit toujours faire l’objet d’une déclaration dans le cadre de votre document.

Nous reprenons ici en partie la charte de l’IRTS Montrouge, organisme de formation en travail social, et l’affiche de l’IRD, qui peut vous aider à identifier les règles et limites d’un tel usage.

1. Responsabilité et sens critique :
Vous êtes responsables du contenu que vous produisez, y compris lorsque vous utilisez une IA. Il est essentiel de conserver votre sens critique face aux informations générées, de vérifier vos sources, de croiser les informations et de prendre du recul par rapport au contenu parfois affirmé par l’IAG. L’IAG n’est pas un « super-dictionnaire » ni un moteur de recherche infaillible.

2. Prévention du « prêt-à-penser » :
L’IAG peut être un support à la réflexion, à la reformulation, mais ne doit pas se substituer à votre propre processus d’apprentissage, à votre capacité à penser et à vous approprier le savoir.

3. Transparence de la production d’écrits :
L’absence de référencement des concepts mobilisés par l’IAG, vous expose à commettre sans le savoir un plagiat et un détournement de propriété intellectuelle.

4. Respect de la confidentialité et des données personnelles :
La confidentialité est une des bases du travail social. Les données que vous fournissez aux IA sont stockées sur des serveurs externes et peuvent être réutilisées. Il faut y être particulièrement vigilant.
Raconter sa vie ou celle de ses patients à une IAG vous expose à ce que vos préoccupations fassent l’objet de récupération et d’une diffusion incontrôlées sur les réseaux sociaux. L’anonymat dans ces situations n’est qu’une illusion.

5. Conscience des limites et des biais :
Soyez conscients que les productions de l’IAG peuvent comporter des erreurs (« hallucinations ») et véhiculer des stéréotypes et des biais culturels, idéologiques ou de genre.

6. Utilisation éco-responsable :
Soyez conscients aussi de l’impact environnemental des IAG, dont le coût énergétique et en eau par requête est élevé.

Ces impératifs engendrent au moins deux règles :

Dans chacun de vos écrits, vous devez préciser si vous avez utilisé une IAG. Et surtout, du fait de l’absence totale de confidentialité dans ses usages, l’IAG est strictement interdite dans toute production d’une réflexion à partir d’une situation professionnelle. A fortiori lorsque les données peuvent être politiquement sensibles.

Alors autant éviter les ennuis  et ne pas perdre de temps en rédigeant soi-même son texte ! D’autant plus que si vous n’en êtes pas l’auteur, vous risquez d’être très mal à l’aise lors de sa discussion.

Car ce travail fera effectivement l’objet d’une présentation orale de 10 minutes  (sous une forme entièrement libre: vidéo, power point, saynète, chanson, exposé classique, …) suivie de 10 minutes de questions, devant l’ensemble de la promotion et le comité pédagogique du DU.
Il ne s’agit donc pas véritablement d’une soutenance où vous devriez convaincre un jury académique de la pertinence de vos analyses, mais d’un exposé de votre travail et de vos réflexions personnelles. Les commentaires des enseignants ont comme unique objectif de vous aider à approfondir et enrichir vos analyses.

Quelques règles pour les présentations:
En cas de power point : 1 à 2 mn maximum par diapo, soit un maximum de 5 diapos. Ne pas tout écrire sur les diapos, afin de ne pas les lire en direct : ne faire figurer que les têtes de chapitre.

Ne pas perdre de temps à répéter l’introduction et le contexte qui auront déjà été lus par le jury dans le texte écrit.
Consacrer le peu de temps disponible à présenter
vos résultats et vos conclusions, sinon, vous risquez d’être interrompu par le minutage avant même d’avoir abordé le cœur de votre travail, ce qui est très frustrant.
Par précaution le jour de la soutenance, apportez une version Power Point ET une version PDF de votre présentation sur une clé USB, les compatibilités des logiciels et des ordinateurs sont parfois aléatoires et on perd beaucoup de temps en logistique informatique.

Ces présentations étant programmées au printemps, la remise de votre travail sous format PDF est programmée pour le 1er mai 2026 pour le DU santé des migrants et le 1er juin 2026 pour le DU médiation en santé.
Il convient donc de ne pas trop tarder à fixer dès la fin de la première session les grandes lignes du thème retenu, pour pouvoir en présenter une première architecture lors de la session de la mi-mars.

L’équipe pédagogique peut venir en appui éventuel pour réfléchir sur la faisabilité des idées avancées mais ne peut garantir de véritable guidance, faute de temps disponible.

Les notations porteront sur la qualité du travail fourni et de la réflexion originale menée par le participant, et non sur une valeur académique.

La validation du diplôme combine l’assiduité (8 points) et le mémoire et la soutenance (12 points).

Les mémoires des années 2017, et des années suivantes qui sont en ligne sur le site permettront de se faire un idée de ce qui est attendu.

N’oubliez pas, une fois votre soutenance acquise, de nous transmettre votre mémoire avec votre autorisation de mise en ligne. Ce qui vous a été utile pourra l’être à vos successeurs qui vous en remercient à l’avance.

DU Santé des migrants : anciens participants, liste et travaux de validation

Les mémoires disponibles ci-dessous ont été validés et figurent avec l’autorisation explicite de leur auteur.e.
Elaborés en très peu de temps, ils ne représentent pas un travail scientifique à proprement parler, mais sont très représentatifs de réalités vécues par les participants.
Ils ne peuvent donc être éventuellement cités que dans cette modeste perspective subjective.

2025

Laélath Abibou
Médecin généraliste Béninoise et médecin santé publique, option prévention santé et sécurité au travail.
J’ai découvert le DU santé des migrants au cours de l’une de mes explorations, et il m’a particulièrement intéressée de par sa richesse de formation. D’autant plus que le sujet des migrants est un sujet d’actualités et en plein essor, je me suis dit qu’il me serait avantageux d’avoir une expertise dans ce domaine, tout en appréhendant ces enjeux tant au niveau national qu’international.


Jules Bayart
Interne en dernier semestre d’infectiologie à l’hôpital Saint-Antoine.
La question de la population migrante est au cœur de ma pratique quotidienne. Mon expérience en salle d’hospitalisation d’infectiologie, ainsi qu’en consultation pour les Mineurs Non Accompagnés à l’hôpital Robert Debré, a renforcé mon intérêt pour la santé des populations migrantes.
J’espère pouvoir acquérir au cours du DU des connaissances précises sur les déterminants de santé spécifiques à ces populations, ainsi que sur les obstacles à leur accès aux soins et les moyens disponibles pour les surmonter.
Mémoire :  BAYART_Jules_Interpretariat


Sylvain Brunet
Médecin généraliste à la PASS du CH de Pau et au planning familial/Cegidd de Pau. Après un internat de médecine générale dans l’océan indien et un engagement bénévole au sein de médecins du Monde sur des projets d’accueil de migrants à la Réunion, j’ai exercé pendant 1 an en dispensaire à Mayotte. Puis j’ai travaillé dans le médico-social en tant que médecin coordinateur Lits Halte Soins Santé/Appartement de Coordination Thérapeutique/Lits d’Accueil Médicalisé dans le Gers avant de rejoindre le Béarn.
Je me suis inscrit à cette formation afin d’acquérir des connaissances globales sur les migrations pour enrichir ma pratique en PASS, accompagner au mieux les personnes au quotidien et nourrir ma réflexion sur le démarrage en 2025 d’une Equipe Mobile Santé Précarité dans le Béarn.
Mémoire : BRUNET_Sylvain_Bilan_PASS_NAq


Antoine Caillau
Mémoire : CAILLAU_Antoine_PASS_Gde_Synthe


Théo Chevallier
Médecin généraliste. Actuellement médecin dans des services de maladies infectieuses en île de France.
Intéressé par le DU pour comprendre les enjeux politiques, sociologiques et psychologiques des migrations


Phillippa Cui
Médecin généraliste et urgentiste. Travaillant depuis peu aux urgences du CH d’Avranches dans la Manche en Normandie et Bénévole à médecins du monde et à l’Association Médicale Contre l’Exclusion à Caen (consultations dans un centre d’accueil de jour et à la PASS) . J’ai surtout travaillé à Paris, puis un petit temps aux urgences de Mayotte et en Guyane.
Intérêt pour le DU : avoir une vision globale des problématiques des patients migrants ( volet social/droits/aspect transculturel)
Mémoire : CUI_Phillippa_Benevoles_PASS_Caen


 Lucie Daubé 
Assistante sociale dans le service de la (PASS)Permanence d’accès aux soins et à la santé à l’hôpital Jean Verdier à Bondy.
Ma formation et mes expériences professionnelles m’ont donné envie d’aller plus loin dans l’acquisition de connaissance dans le secteur.
Je souhaite acquérir les outils pour mieux comprendre et travailler avec les publics migrant. L’objectif est de venir en appui dans l’exercice de mes missions auprès du public de demandeur d’asile, réfugiés,  migrants et personnes précaires.
Mémoire : DAUBE_Lucie_PASS 93


Iris Delpire
Médecin généraliste diplômée en octobre 2023. Je travaille depuis janvier 2024 dans une maison médicale (système au forfait) dans le centre ville de Bruxelles. Nous sommes une équipe pluridisciplinaire (médecins généralistes, kinés, infis, AS, psy, accueil) et nous prenons en soins un public varié, des personnes ayant une mutuelle qui sont également parfois migrants et/ou primo-arrivants et des personnes en situation de séjour illégal avec le statut AMU (aide médicale urgente). La patientèle est dans l’ensemble un public plutôt dans la précarité avec du sans abrisme, de la toxicomanie, de l’alcoolisme, des travailleur.euses du sexe et des patient.es atteintes de pathologies psychiatriques.
Mémoire : DELPIRE_Iris_Reseau_Bruxelles

Axelle Dibas-Franck 
Pédiatre à Marseille. Assistante depuis peu, novembre 2024, à temps partagé entre les urgences pédiatriques (de l’hôpital Nord) et la PASS mère-enfant (de l’hôpital Nord et Timone Enfant).
Je me suis inscrite au DU pour mieux comprendre les parcours des patients reçus à la PASS et avoir une vision globale pour améliorer leur prise en soins.
Mémoire : DIBAS-FRANCK_Axelle_Sante_Mentale_PASS_Pediatrique


Élise Houard
Infirmière, je travaille dans une association Médecins sans frontières, à Calais. Nous organisons des cliniques mobiles et des aller-vers et un suivi médical pour les populations exilées vivant dans la jungle, qui veulent rejoindre le Royaume-Uni.
Apport théorique sur les droits et les spécificités de la prise en soin de cette population.


Jeannot Kettami
Infirmier, diplômé en novembre 2016 (Reconversion). Je travaille en tant que fonctionnaire au sein du Ministère de la santé au Luxembourg. Mon service est le SSR : Service de Santé des Réfugiés.
Missions :
– Réaliser des Consultations de primo-accueil, obligatoires pour les bénéficiaires
– Réaliser également des consultations médicales, dentaires.
– Surtout apporter une aide psychologique et psychiatrique avec la mise en place d’une « cellule Psy », pour les personnes demandeuses et souffrant de stress post-traumatique.
Mémoire : KETTAMI_Jeannot_Alimentation_Hebergement


Gabrielle Lamour
IDE au sein d’un CAARUD pour les usagers de crack dans le nord parisien. Beaucoup d’accueillis sont des personnes issues de l’immigration, souvent des primo arrivants.
Je me suis donc interrogée sur la spécificité de ce public et comment les prendre en soin de la meilleure des manières.
Mémoire : LAMOUR_Gabrielle_Accueil_migrants_en_Caarud Porte_Chapelle


Alexandre Lampros
Infectiologue (travaille à l’Hôpital George Pompidou, prochainement à l’Hôpital Delafontaine à St Denis)
Recherche à élargir mes connaissances sur les personnes issues de l’immigration et en situation de précarité afin d’élargir ma vision sur les aspects démographiques, socio anthropologiques, politiques et juridiques (plus que bio médicaux et épidémiologiques un peu plus familier)
Mémoire : LAMPROS_Alexandre_Collaboration_interpro


Aline Lazberg
Je suis interne en santé publique au CHU de Caen. Je m’intéresse particulièrement au risque infectieux et à l’antibiorésistance. J’envisage de travailler en PASS après la fin de mon internat.
J’aimerais que ce DU me donne du recul sur les problématiques sociales dans la prise en soin des personnes migrantes.
Mémoire : LAZBERG_Aline_AntiBiothérapie


Léna Malbrunot
Actuellement cheffe de clinique dans le service de Pédiatrie Générale, Unité des Ados, et USC à l’hôpital Jean Verdier, Bondy. Je participe également aux consultations PASS pédiatriques de l’hôpital. J’ai auparavant participé aux consultations COPEMI de l’hôpital Robert Debré, dédiées aux mineur·es non accompagné·es. Ma thèse, soutenue en mars 2023, portait sur la description du profil sociodémographique et de l’état de santé des enfants consultant la PASS de l’hôpital Robert Debré. Durant l’année 2023, j’ai également réalisé 2 mois de bénévolat comme médecin pour Médecins du Monde à Briançon, à la frontière franco-italienne.


Agathe Martin
Médecin généraliste. Actuellement, je travaille en tant que médecin coordinateur au sein de LHSS (lits halte soins santé) et ACT (appartement de coordination thérapeutique) dans une association lavalloise Enosia depuis fin 2021. Également, je travaille à la PASS et à la maison d’arrêt de Laval depuis janvier 2024. Je réalise une maraude par mois au sein de la Croix-Rouge pour le dispositif SALAM (Soins, Accompagnement, Liens familiaux et Accueil Mobile). Auparavant, j’ai exercé à la PASS du CHU d’Angers et au sein du CFPD (Centre Fédératif Prévention Dépistage) de l’hôpital de Laval pour une activité de CeGIDD et de CVP proposant les bilans des MNA sur le territoire mayennais.
Mémoire : MARTIN_Agathe_LHSS_ACT_Psy


Benoît Raeckelboom
urgentiste à Dunkerque au parcours multiculturel : 1 an d’interCHU à Cayenne comme interne, 2 ans à Pékin à l’Ambassade, puis Urgences de Dunkerque et référent PASS depuis 2010.Activités associatives nombreuses dont la création du site GÉLULES pour l’évaluation des stages en santé.


Chloé Simonnet
Infirmière DE depuis 2015. Après 8 ans exercice en secteur hospitalier (pneumo / urgences, méd interne, chir, ect .. ), j’exerce désormais au Samu Social de Paris en maraudes dans les Équipes d’Aides Mobiles de nuit.
Nos missions : Aller vers les personnes en rue / Évaluation / Orientation dans l’objectif d’un retour vers le droit commun.
Attentes DU : Connaissances approfondies sur les enjeux de la migration et pour améliorer ma prise en soins et mes orientations envers ce public.
Approche des notions théoriques pour évaluer mon envie de reprendre des études plus poussées en Master.
Mémoire : SIMONNET_Chloe_Equipe_Mobile_Samu_Social


Sangoulé Traoré
Infirmier en psychiatrie adulte.
Les migrants sont surreprésentés dans la patientèle, j’attends de ce DU des outils et l’approfondissement des aspects de prise en soins de ce public particulier
Mémoire : TRAORE_Sangare_Accueil_DA

2024

Pascaline Breuil Sane
Accès aux soins et professionnels en Seine St Denis

Jean-Loup Duros
Centre santé solidarité auxerrois

Aissambra Figueiredo Mendes Ana Helena
Femmes brésiliennes et système de santé français

Charlie Kamdoum Noutchemo
Expérience de trois années dans un CHU pour femmes

2023

Fanny Colliac Chirié


Johann Dussaux
Soins infirmiers et tuberculose à Rouen 

Armelle Gros de Beler
Médecins étrangers en France

Clémentine Moerman
Empowerment et migrants intra européens 

Muriel Napo
Alimentation des patients diabétiques de type2 originaires d’Afrique de l’Ouest

2021

 

 

2020

Solenne Aubree
Varicelle chez migrants AUBREE

2019

Anne Barbail
Périnatalité et migration Mayotte

Riwana Baudu et Valentine Perrod
Groupe de parole pour femmes excisées à Grenoble

Delphine Kleiber
Soins dentaires des réfugiés

Clémence Le Joubioux
Santé sexuelle et demandeurs asile LGBT

Lize Marzin
CCN Ethique et pratiques soignantes

Nedjma Messaouden
Orthophonie et bilinguisme

Sarah Permal
BeriBeri_a_Mayotte

 

2018

Madame Mariama ALI ; Médiatrice santé à SAINT DENIS (93)

Médiation santé aux Francs Moisins 93


Monsieur Julien ARON ; Interne 7°semestre


Madame Elodie ARQUE-MIQUEL ; Infirmière


Madame Joelle AUCLAIR JULIEN ; Médecin généraliste
Prophylaxie VIH pré exposition et migrants


Madame Sonia AZIB ; Praticien hospitalier
Accueil des mineurs non accompagnés à l’hôpital de Pontoise


Madame Tatiana BOURCIER ; Infirmière
Interculturalité dans la formation infirmière IFSI La Roche sur Yon


Madame Giliane DARRACQ ; Médecin PMI
Repérage des signes TSAutistique en PMI en Seine St Denis


Madame Anne-Isabelle FICHET ; Infirmière

Madame Valérie HUA CARREAU ; Praticien hospitalier
Hypertension la bas et ici


Monsieur Rafik KHALED ; Médecin


Madame Myriama LAME ; Coordinatrice administration et finances
Présentation Profil et morbidité des patients de la clinique mobile MSF 2017 Profil et morbidité des patients de la clinique mobile MSF 2017


Monsieur Cyril LECONTE ; Praticien hospitalier médecin généraliste

Madame Lucie LOMBES ; Médecin libéral
Questions autour d’un groupe de parole sexualité violence auprès de femmes en CADA


Madame Sylvie LORIDAN ; Infirmière

Madame Marwa MCHAREK MARWA ; Mastère en droit de la santé
sage-femme diplômée en 2013 en Tunisie.

Madame Nathalie MONNIER BOUCARD ; Assistante sociale hospitalière
Difficultés d’accès aux droits et aux soins des étrangers


Madame Marie-Christine MORENO CHARANSONNE ; Médecin généraliste
Santé des migrants en consultation à Belleville 2017


Madame Seynabou NDIAYE ; Médiatrice santé

Madame Marie-Jeanne OTSHUDI OTAKANDE ; Médiatrice santé


Madame Elisabeth ROUZEAU ; Médecin généraliste
Réflexions sur l’immigration algérienne autour de l’œuvre d’Abdelmalek Sayad


Madame Helene SARDA  THIBAULT ; Chef de service de pédiatrie


2017

Monique Binart
Réseau pour accès aux soins des migrants 77

Benoit Blaes
Pourquoi la discrimination perçue nuit-elle à la santé?

Delphine Boucher
24/10/2016 Démantèlement de la « jungle » de Calais Analyse comparée d’articles de la presse quotidienne nationale datés de ce jour

Joséphine Brice
Dépistage néonatal de la drépanocytose au CH de St Denis 93

Justine Dorchies
Dépistage et prise en charge des mutilations sexuelles féminines dans les PASS généralistes pour adultes

Sandrine Faillon Genet
Etude descriptive rétrospective de la PASS pédiatrique de Lyon

Nathalie Garcia
Les_mineurs_isoles_etrangers_primo_arrivants_en_France_Présentation PWP
 Memoire_Les_mineurs_isoles_primo_arrivants_en_France

Christelle Gioberto Vandaele
La prise en charge sanitaire des migrants délocalisés en centre d’accueil Role de la PASS

Dominique Grassineau
Dispositif d’évaluation sanitaire CAO Marseille PASS RIMBAUD

Aurélien Guittard
La place de l’hypnose dans les troubles post-traumatiques

Hikombo Hitoto
Populations prise en charge en PASS et centre prévention et dépistage au Mans

Nanis Isungu
Prévention des crises drépanocytaires

Laurent Kapela
Syndrome d’Ulysse et mères sans papiers hébergées à l’hôtel, une clinique d’accompagnement Secours Catholique Paris

Paula Lakrout  Dos Santos
La transmission élément de protection de la construction identitaire des enfants migrants en situation de crise 

Véronique Le Méhaute Faucounau
Hospitalité

Léa Michel Bechet
La vulnérabilité linguistique des migrants et minorités ethniques vers des soins de qualité

Sonia Molho
Impact sur la santé des violences subies pendant le transit migratoire

Sohela Moussaoui
Les vaccinations chez les migrants

Marie-Astrid Naccache
Bilharziose urinaire dans une consultation jeunes à Paris

Isabelle Pouyane Dandonneau
Bilan de la PASS migrants à Pau

Jadwiga Żyłka
Santé des migrants récents en Pologne